"Je suis gaucher et je me souviens très bien lorsqu'on m'a demandé de passer à droite. Là-dessus j'ai une idée un peu différente des psys. Je ne suis pas contrarié mais complété; tout ce qui est intellectuel passe par la droite (j'écris à droite) mais dès que je saisis un marteau ou une raquette de tennis, c'est de la main gauche. Donc j'ai un corps complet ! Un droitier est un hémiplégique. Il m'est arrivé de faire des finales d'escrime, de basket pendant lesquelles on battait les droitiers à plates coutures - parce qu'on était obligé de s'adapter au monde des droitiers alors que les droitiers n'avaient qu'un demi-monde."
Lieu de publication d'articles majoritairement littéraires, anciens, récents ou inédits. Centré plus particulièrement sur les littératures de genre telles que la science-fiction. Il s'agit autant de critiques littéraires que d'essais de fond. Et quelques humeurs, quelques souvenirs...
mardi 9 novembre 2010
jeudi 4 novembre 2010
Les Voix du nord
Puisque j’ai à plusieurs reprises cité l’ouvrage que firent paraître lors de la convention de Redu, en 1992, Alain le Bussy et Claude Dumont, Les Voix du Nord, il n’est sans doute pas inutile de noter ici ses références complètes (pour les bibliographes fous) et son contenu, qui mêlait nouvelles d’auteurs du cru (i.e. de Belgique francophone) et approche historico-bibliographique de la science-fiction belge (francophone, etc.) et de son fandom.
mercredi 3 novembre 2010
Science-fiction belge francophone, essai chronologique et bibliographique
Voici donc la bibliographie qui, dans sa version papier de 1992, complétait l’étude publiée ici le 1er octobre : “Vue en coupe d’une SF malade”.
Comme les articles postés depuis le début de cette mise en ligne de mes réflexions concernant la SF en Belgique francophone, je la publie en l’état. Telle quelle. Alors qu'elle paraissait, Alain le Bussy n'avait pas encore publié Deltas, son premier roman au Fleuve Noir...
Elle est farcie d’approximations (mais peut-être pas tant que cela), voire d’erreurs (Jean Sadyn n’était pas belge, par exemple, mais plutôt ch’ti...).
J’ai décidé de reprendre ce travail et de produire un “état bibliographique” qui corrigerait ce travail-ci et le compléterait. Car bien évidemment, il a vieilli : dix-huit ans dans la vue, ce n’est pas rien. Les outils de recherche se sont multipliés et/ou affinés depuis 1992, même s’il ne faut pas trop vite vendre la confiance aux ressources du web – et si la fréquentation des bibliothèques (avec des livres imprimés sur du papier) demeure donc incontournable... Je ne puis dire aujourd’hui sous quel délai ce travail de demi-cinglé pourrait voir le jour, mais le fait que je me sois remis récemment à la production d’études diverses devrait lui permettre de ne pas orbiter indéfiniment dans les limbes des projets virtuels...
mardi 2 novembre 2010
L'absence d'octobre...
Guère de présence ici depuis un mois.
Il va de soi que publier des études consacrées à la SF belge alors que nous venons de perdre l’un de ses principaux représentants n’était sans doute pas facile.
Je ne referai pas ici d’hommage à Alain le Bussy, car la toile en a déjà vu fleurir.
Il va de soi que publier des études consacrées à la SF belge alors que nous venons de perdre l’un de ses principaux représentants n’était sans doute pas facile.
Je ne referai pas ici d’hommage à Alain le Bussy, car la toile en a déjà vu fleurir.
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